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Use of a multi-antenna radar for the survey of a wall in the episcopal palace in Angers

Archaeology of buildings is based on the observation and study of preserved walls, to understand the various phases of construction and renovation that made its history. Characterization of the internal pattern is a part of this work, but it is rarely directly visible. Indeed, plaster or facing covering the walls make the visual observations difficult. In an attempt to provide archaeologists answers, Geophysical and Remote Sensing Units of Inrap is developing new masonry inspection protocols, notably using high-frequency radar.

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Utilisation d’un radar multi-antennes pour l’auscultation d’un mur du palais épiscopal d’Angers

L’archéologie sur le bâti se base sur l’observation et l’étude des murs en élévation pour comprendre les différentes phases de construction et de réfection qui se sont succédées. Comprendre la structuration d’un mur fait partie intégrante de ce travail mais celle-ci n’est que rarement directement observable. En effet, lorsque les parois d’un édifice sont recouvertes par un enduit ou un parement, les observations visuelles peuvent être rendues complexes. Pour tenter d’apporter des réponses à l’archéologue, la cellule géophysique et télédétection de l’Inrap développe de nouveaux protocoles permettant l’auscultation des maçonneries notamment par l’utilisation de radars à hautes fréquences.

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Benefits of a sledge for EMI survey for archaeology

In 2017 and 2018, two geophysical surveys were carried out on the site of the Petit Camp de César (La Roche Blanche – Puy-de-Dôme) with a multi-frequency electromagnetic device (Geophex GEM2). The first survey was carried out manually, i.e. hand-carried, and the second in a towed configuration, the device being placed on a sledge. The comparison of these two acquisition configurations made it possible to assess the benefits of a non-magnetic and non-conductive sledge for electromagnetic measurements.

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Apport d’une luge pour l’acquisition des données électromagnétiques basse fréquence en archéologie

En 2017 et 2018, deux acquisitions géophysiques ont été réalisées sur le site du Petit Camp de César (La Roche Blanche – Puy-de-Dôme) avec un appareil électromagnétique multifréquence (Geophex GEM2). La première phase a été réalisée en mode manuel, c’est-à-dire porté à la main, la seconde en mode tracté, l’appareil étant posé sur une luge. La comparaison de ces deux modes d’acquisition a permis d’évaluer l’intérêt d’une luge amagnétique et non conductrice pour les mesures électromagnétiques.

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Le radar mural : un nouvel outil pour l’archéologue du bâti

Les nouveaux outils tels que la photogrammétrie ou les relevés scanner 3D ont révolutionné la façon d’appréhender l’étude archéologique d’un édifice. Ces outils sont désormais couramment utilisés mais, lorsque les parois d’un édifice sont recouvertes par un enduit, les observations visuelles sont rendues considérablement plus complexes. L’implantation des fenêtres d’observation à piqueter peut s’avérer être un exercice délicat et potentiellement non représentative de la partie de l’édifice à étudier. Les techniques géophysiques et plus particulièrement la méthode radar peuvent en partie guider cette démarche grâce à la réalisation préalable d’une imagerie murale extensive…

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Test of EMI methods on basalt buildings : study of the Saint-Beauzire site (Puy-de-Dôme)

Within the framework of the ArchEM project, a first experiment was carried out in November 2017 on the Saint-Beauzire site (Puy-de-Dôme) in collaboration with Julien Guillemoteau, Niklas Allroggen and Florian Dorgerloh from the University of Potsdam as well as Bertrand Dousteyssier and Marion Dacko from the Maison des Sciences de l’Homme in Clermont-Ferrand. The purpose of this experiment was to assess the relevance of EMI (Electromagnetic Induction) devices for mapping basalt buildings.

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Test des méthodes EMI sur des bâtiments en basalte : étude du site de Saint-Beauzire (Puy-de-Dôme)

Dans le cadre du projet ArchEM, une première expérimentation a été réalisée au mois de novembre 2017 sur le site de Saint-Beauzire, dans le Puy-de-Dôme, en collaboration avec Julien Guillemoteau, Niklas Allroggen et Florian Dorgerloh de l’Université de Potsdam ainsi que Bertrand Dousteyssier et Marion Dacko de la Maison des Sciences de l’Homme de Clermont-Ferrand. L’objectif de cette expérimentation était d’évaluer la pertinence des appareils EMI (Electromagnetic Induction) pour la cartographie de bâti en basalte.

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